vendredi 10 décembre 2010
Porte à Porte : le film
Porte à Porte, un voyage aux portes de la ville
envoyé par Backstreetprod. - Futurs lauréats du Sundance.
lundi 29 novembre 2010
FRANCE CULTURE invite Julia Cordonnier pour parler de PORTE à PORTE

Écoutez l'émission Vivre sa ville sur France culture du 29 novembre 2010, Sylvie Andreu invite Julia Cordonnier, commissaire de l'exposition Porte à Porte.
Cliquez sur le lien ci-dessous
http://www.franceculture.com/emission-vivre-sa-ville-vivre-sa-ville-2010-11-29.html
vendredi 12 novembre 2010
PORTE à PORTE AU TGP DU 15 au 28 NOVEMBRE 2010
Théâtre Gérard Philippe (CDN)
DU 15 novembre au 5 décembre 2010
(entrée libre)
Projection de la vidéo
Théâtre Gérard Philipe
59 Boulevard Jules Guesde
93200 Saint Denis
Agrandir le plan
mercredi 22 septembre 2010
Le film Porte à Porte à la nuit banche le samedi 2 octobre 2010 à Aubervilliers
mardi 14 septembre 2010
Porte à Porte à L'université Paris 13 du 5 octobre au 15 novembre 2010
Université Paris 13 Villetaneuse
DU 5 OCTOBRE AU 15 NOVEMBRE 2010
VERNISSAGE LE MARDI 5 OCTOBRE
DE 14H à 16H (Café Expo - entrée libre)
Projection de la vidéo pendant le vernissage
Renseignements : 01 49 40 35 16
Université Paris 13- Service culturel
99 avenue Jean-Baptiste Clément
93430 Villetaneuse
Agrandir le plan
lundi 6 septembre 2010
mardi 13 juillet 2010
La photographie vous intéresse ?//Appel à candidatures
Backstreet productions propose des Stages d’initiation à la photo de Juillet à Septembre 2010.
Venez participer à un projet artistique qui donnera lieu à une exposition itinérante à partir de l’automne 2010.
Stages gratuits
Contactez-nous : Par téléphone : 06 13 02 51 42
Par courriel : backstreetprod@gmail.com
Consultez dès maintenant nos blogs : http://www.diversescites.blogspot.com
http://www.portesdeparis.blogspot.com
lundi 21 juin 2010
Article sur Porte à Porte sur le site de la Cité nationale de l'histoire de l'immigration 2010

Maya Larguet
jeudi 17 juin 2010
Le Parisien 17 juin 2010 parle de l'exposition "Porte à Porte" jusqu'au 25 juin à Confluences

«PorteàPorte»,jusqu’au 25 juin, accès libre du lundi au vendredi de 10 heures à 18 heures. Confluences, 190, boulevard de Charonne (XXe ), M° Philippe-Auguste. L'exposition sera présentée au café culturel de l'Université Paris 13 en octobre prochain.

lundi 31 mai 2010
EXPOSITION Porte à Porte à Confluences du 31 mai au 25 juin 2010// 20 minutes chronique Porte à Porte



http://www.20minutes.fr/article/408542/Paris-Direction-les-portes-de-Paris-en-photographies.php
Hélène Colau
vendredi 21 mai 2010
EXPOSITION Porte à Porte à Confluences
présente
"Porte à Porte"
du 31 mai au 25 juin 2010
@ Uriel Jaouen-Zréhen
à
Confluences
190, Boulevard de Charonne
75020 Paris
Métro : Alexandre Dumas
Les portes de Paris sont des zones de flux en pleine mutation que tout le monde traverse mais où l'on s'arrête rarement. Pourtant elles fourmillent de vie et d'activités.
Qui habite, qui travaille dans ces espaces de transit entre la capitale et sa banlieue ?
Que nous racontent ces lieux souvent chargés d'histoire
au sujet de Paris et de sa banlieue proche ?
A travers ces images, c'est ce que nous souhaitons vous faire découvrir.
Sous la direction de la réalisatrice Julia Cordonnier,
une dizaine de jeunes photographes ont confronté leurs regards
sur les portes de Paris.
Composée d'une quarantaine de tirages 40X60 et 30X40 et d'un film de 20 minutes,
cette exposition est préfacée par l'écrivain Philippe Vasset auteur, entre-autres,
de Un livre blanc et de Journal intime d'un marchand de canons
(tous deux publiés chez Fayard).
Au plaisir de vous y rencontrer.
Exposition Porte à Porte à Confluences du 31 mai au 25 juin 2010
LA GALERIE PHOTO de Confluences est ouverte
du lundi au vendredi de 10h à 18h
et tous les soirs de représentations.
ENTRÉE LIBRE
Pour plus de renseignements elise@confluences.net
vendredi 2 avril 2010
LA PORTE DE LA VILLETTE vue par Samuel
Mon approche de la porte de la Villette s'est construite sur un socle ayant pour matière le passé. Mon passé. Mes impressions d'aujourd'hui ne peuvent se défaire de celles de mon enfance, la cité des Sciences en étant l'un des lieux récurrents : c'est par elle que je découvrais la porte de la Villette.
Je me souviens avoir joué des dimanches après-midis entiers sur l’immense toboggan en forme de dragon ; en fin de journée, nous allions avec ma mère et ma sœur boire un chocolat chaud dans un des cafés qui longent l’avenue Corentin Cariou. Puis les joues encore rouges et les jambes lourdes nous rentrions non loin de là, à Barbès, la tête pleine de souvenirs et d’appréhension car le départ de la Porte de la Villette signifiait aussi pour moi la fin du week-end.
C'est donc envahi par des impressions Proustiennes que commençait ma nouvelle rencontre avec cette porte. Et, comme par un magnétisme étrange dicté par mon enfance, je me suis donc dans un premier temps dirigé vers la Cité des sciences, à la recherche de ce qui faisait la magie de cet endroit et de mes souvenirs. Or la magie des lieux disparaît aussi vite que disparaît la magie de l’enfance.
Attiré par une réalité autre que celle un peu trop naïve de la jeunesse, j’ai décidé de me retirer de la cité des sciences, pour me diriger vers le métro. Ici ce qui m'a le plus sauté aux yeux, ce sont les travaux. Ceux-ci s’engagent sur toute la longueur du Boulevard Mac Donald et annoncent un bouleversement du paysage actuel. En marge de ces travaux, des panneaux affichent une image numérique largement embellie, celle de la future porte. Au programme, verdure et transports écologiques prendront la place de la grisaille des murs et de la pollution occasionnée par le va-et-vient ininterrompu des voitures.
En attendant, les murs du périphérique suintent l'humidité ambiante et un liquide ocre est vomi par ces imposants murs-frontières. Les rails de la petite ceinture sont entièrement investis par la peinture colorée des graffeurs noctambules. Tandis que la nuit, l'oeil est piégé, comme le serait un insecte, par l'éclatante luminescence des lumières de la pub-ville.
Une foule fuyante et discrète traverse la porte de la Villette. Familles nombreuses, barmen, bouchers de l’Avenue Corentin Cariou, musiciens du GlaZ’art, employés des grandes entreprises locataires de la tour Daewoo, ouvriers acteurs du changement morphologique du quartier, Sans-abris qui attendent en grelottant de froid l’arrivée du bus qui doit les conduire dans le foyer d’hébergement de Nanterre, toxicomanes en pleine errance hallucinatoire, familles de gens du voyage portant d’énormes cabas… Tous se croisent et ne se regardent pas aux abords de la porte de la Villette.
Samuel Dessons